Dans la vaste métropole futuriste de Néoville, où les bâtiments étincelants touchaient presque le ciel et les véhicules volants zébraient l’horizon d’éclats lumineux, vivait une famille peu ordinaire. Thomas, un jeune garçon de quatorze ans, souffrait de schizophrénie, une maladie qui embrouillait parfois son esprit de visions et de voix que les autres ne pouvaient ni voir ni entendre. Sa sœur, Dariana, et sa petite amie, Giovanna, partageaient un lien profond avec lui, empreint de compréhension et d’affection.
Un matin, Thomas disparut. Sans un mot, sans un adieu, il s’éclipsa de la maison familiale, laissant derrière lui une chambre vide et un silence lourd. Sa mère, en découvrant son absence, fut saisie par une peur glaciale. Elle savait que chaque minute qui passait pourrait pousser Thomas plus loin dans l’oubli ou le danger.
Les recherches commencèrent immédiatement. La mère de Thomas, aidée par Dariana et Giovanna, arpenta les rues de la ville, interrogeant passants et commerçants, visitant les hôpitaux et les stations de police, et explorant chaque recoin de Néoville que Thomas avait l’habitude de fréquenter. Mais la ville, avec ses myriades de secrets bien cachés derrière ses façades de verre et d’acier, ne leur offrit aucune réponse.
Les jours se transformèrent en semaines. L’angoisse grandissait dans le cœur de sa famille tandis que l’espoir commençait à s’effriter. La mère de Thomas ne pouvait s’empêcher de penser au pire, tandis que Dariana tentait de consoler Giovanna, qui pleurait souvent en cachette, craignant de ne jamais revoir son ami cher.
Puis, un soir, alors que la ville était baignée par la lueur blafarde des lunes artificielles, un indice émergea enfin. Une caméra de surveillance, dans un quartier éloigné de la ville, avait capturé l’image floue de quelqu’un ressemblant à Thomas. Il semblait parler seul, gestes frénétiques, comme s’il était en pleine discussion avec une présence invisible.
Sans perdre un instant, la mère, accompagnée de Dariana et Giovanna, se rendit sur les lieux. Elles découvrirent une série de petits parcs et d’anciens bâtiments abandonnés où Thomas avait pu trouver refuge. Après des heures de recherche, alors que l’espoir semblait de nouveau fuir, elles entendirent une voix faible provenant d’une vieille structure en ruine.
C’était Thomas. Il était là, recroquevillé dans un coin, ses yeux brillants d’un éclat fébrile. En le voyant si fragile, sa mère éclata en sanglots, tandis que Dariana et Giovanna s’approchaient doucement, le cœur serré par l’émotion.
«Je suis désolé,» murmura Thomas, sa voix à peine audible. «Les voix, elles m’ont dit de fuir, qu’il y avait un danger… Mais je me suis perdu.»
Le soulagement de le retrouver sain et sauf fut immense. Sa famille le serra dans ses bras, promettant de chercher de l’aide pour lui, pour qu’il puisse mieux comprendre et contrôler les voix qui le tourmentaient.
Ensemble, ils rentrèrent chez eux, unis par l’épreuve qu’ils venaient de surmonter. La ville de Néoville, avec ses lumières et ses ombres, semblait un peu moins intimidante maintenant qu’ils étaient de nouveau ensemble.
La disparition de Thomas avait enseigné à chacun la valeur de la famille et du soutien, et bien que la route à parcourir pour lui fût encore longue et incertaine, ils savaient qu’ensemble, ils pourraient affronter n’importe quelle épreuve que la vie leur réservait.
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Autor del Cuento
Soy Francisco J., apasionado de las historias y, lo más importante, padre de un pequeño. Durante el emocionante viaje de enseñar a mi hijo a leer, descubrí un pequeño secreto: cuando las historias incluyen a amigos, familiares o lugares conocidos, la magia realmente sucede. La conexión emocional con el cuento motiva a los niños a sumergirse más profundamente en las palabras y a descubrir el maravilloso mundo de la lectura. Saber más de mí.